Un choix désisif.

Après avoir bien entamé la matiné, Natros retourna a Hurlevent pour y faire ce qu'il avait prévus, et qui serait désisif pour son avennir. Trouver un Ordre. Pour ce faire le jeune homme chercha sur les murs des prospectus, des affiches, tout ce qui peut etre un avis de recrutement d'un Ordre. Il avait déja entendu parler de certain d'entre eux plutôt intéréssant, millitaire, magique, pour mercenaires, chaman, bref. Une bonne partie.

En tombant sur une rue du quartier commerçant, il vît un regroupement d'affiches de recrutement sur presque tout dans la région, du moin de légale.

'Oh, eh bien voila ce que je cherchais ! il y a tellement de choix, cela va êtes vraiment dur, mais je dois trouver.'

Natros commenca a scruter les affiches, le moindre mot, tout étais intéréssant, mais il avait plusieurs idées en tête. Alors il chercha, puis tombit sur une affiche de recrutement d'un Ordre Millitaire, La Légion Azur. Oui, il avait déja fait quelques conaissances de cet Ordre, il se souvient de certaines propositions... Dans un élant de stresse il se mit a réfléchir. Puis décida de se lancer. Il avait peut etre une bonne idée pour se lancer dans une carriére millitaire. Ou peut-être juste qu'il n'en conaissait rien.

Grâce au efforts qu'il a donner au citoyents d'Elwynn et d'Hurlevent, et en partit a une certaine Auberge connu. Il a pus se payer de bon vêtement sprésentables et un cheval. Il l'avait bien mérité a vrait dire. En route pour l'écurie de la ville, il pris Thaphir son chat, dans ses bras, le caressant... Oui il étais stréssé son Âme jeune ne savait oas quois dire devant des millitaires.

après avoir monté son cheval, il se mit en route pour le port de Hurlevent, un quai en particulier. Celui de la légion Azur.
Non loin du navire il attacha son cheval et posa son chat. Puis, dans un soupire, se dirigea a l'entré du navire. Certain garde étais posté a l'entrée. Le jeune homme se posta en face d'eux et se présenta, dans un geste poli.

'Bonjour a vous, je suis ici pour postuler dans la Légion Azur. Je me nome Natros Long-fleuve.'

Natros avait le trac, oui c'est normal comme tout début dans une carrière. Il pris son courage a deux mains, et ne perdit en aucun cas son calme.

Keolys s'était levée de bonne heure, pour la première fois depuis quelques temps. En effet, ses nuits agitées avec Kharyanide n'étaient pas vraiment adaptées à ses habitudes martiales, et elle les avait laissées au placard pendant les dernières semaines. Mais à présent, elle voulait renouer avec elles, reprendre un rythme de vie plus "sain", du moins à son sens.

C'est donc en baîllant, en prenant soin de ne pas réveiller sa belle, que la Paladine Platine c'était habillée, avait empoigné son épée, et c'était dirigée vers les mannequins du pont supérieur. Enchaînant les coups, les parades, les bottes, elle passa plusieurs heures à s'esquinter, à vivre un combat qui n'avait lieu que dans son imagination. Quand elle s'arrêta, le soleil était haut dans le ciel, et sa chemise plus trempée que si elle avait passé sa nuit sous la pluie.

Un rapide rinçage dans une bassine d'eau froide posée à l'écart, un passage éclair par sa cabine, où la Cardinale Blanche commençait seulement à se réveiller (la nuit avait été vraiment agitée, le Général ne manquerait certainement pas de faire une ou deux remarques durant la journée), et Keolys était de nouveau fraîche, souriante, et en pleine forme. Cela lui avait fait du bien, elle avait toujours aimé s'entraîner tôt le matin, cela lui rappelait les tâches quotidiennes à faire quand on est fermier, où l'on doit se lever bien avant l'aube.

Le Pont était encore vide, seuls quelques gardes en faction gardaient l'accès au Navire, aussi la belle décida qu'il était temps de profiter un peu de cette matinée fraîche et ensoleillée, aussi s'allongea-t-elle sur la rembarde près de la Proue, et s'amusa des caresses fraîche du vent.

Quelques minutes plus tard, Keolys entendit une conversation, entre les gardes et un homme, qui visiblement voulait s'engager à leur côtés. Se posant sur ses fesses, appuyée sur les coudes, elle jeta un oeil à l'homme, et fut surprise de reconnaître cet homme qu'elle avait rencontré quelque jours plus tôt.

*Il n'a pas du comprendre que nous étions des soldats...*

Elle se leva, descendit vers le Pont principal, et se planta derrière les gardes, le sourire aux lèvres, avant de demander:

"Monsieur Natros, peut-on faire quelque chose pour vous?"

Evidemment, la belle avait oublié qu'elle avait déboutonné un bouton de plus que d'habitude, et qu'elle ne portait aucun dessous, laissant une vue des plus suggestives à la vue de tous. Et tout cela en toute innocence.

Tandis qu'il parlait avec le garde, Keolys arriva dérriére ceului-ci saluant les deux hommes, et prononça sa phrase.
Les deux hommes s'interompit de suite, le garde lui étais plus sur sa poitrine qu'autre chause d'ailleur...

'Dame Keolys ! Bonjour ! je vien ici pour postuler chez vous, j'ai fait un choix. Et je me sens prêt.'

Dans ses nobles paroles, il y avait de la joie, et du stress à la fois, mis à par ça il fût comme tout les autres jours ou la femme parlait avec lui et ses autres amis. Tout de suite après il continua ses dires.

'Je pense que je suis près pour vous rejoindre, vous êtes des personnes à qui je peut me confier, travailler avec vous serait un honneur. De plus plusieurs compagnions m'ont proposez de venir, alors. Pourquois pas ?

Le jeune homme avait un sourire, un beau sourire. Sa lui allait d'ailleur sacrément bien, et laissa la parole a la demoiselle avec son garde bavant a coté.

La Blonde jaugea l'homme qui se présentait, comme elle le pensait, pour postuler. Son regard était sûr de lui, c'était un fait, mais serait-il pour autant prêt à servir en tant que militaire, rien n'était moins sûr. Le peu de fois où elle avait parlé avec lui, l'homme lui avait semblé empreint de libertés, la liberté de choisir ce pour quoi il travaillait, et ce choix, il n'aurait plus le luxe de l'avoir s'il les rejoignait.

L'autre question, sans équivoque, était celle du combat. Natros ne semblait porter aucune arme au côté, et n'avait pas vraiment une stature de soldat. Probablement n'avait-il aucune expérience de batailles, peut-être même n'avait-il jamais manié d'armes de sa vie. Toutes ces questions rendaient la question de son engagement compromises, aussi la belle fit la moue, croisant les bras, ce qui eut pour effet de remonter un peu son opulente poitrine.

Cependant, il y avait quelque chose dans l'attitude de l'homme qu'elle reconnaissait, l'assurance qu'elle même avait alors qu'elle était arrivée pour la première fois dans les murs d'Hurlevent, celle qui l'avait accompagné durant toutes ces années où elle avait donné de son sang, de son énergie, pour devenir la femme qu'elle était aujourd'hui. Peut-être qu'il était assez motivé pour passer outre tout les handicaps qui viendraient le frapper de plein fouet une fois qu'il aurait à affronter les hommes de la Légion.

Reprenant son sourire, et ignorant comme elle le fait si bien le garde qui était trop occupé à admirer ses atouts, la Paladine reprit la parole, non sans garder une pointe d'amusement dans sa voix. Elle était aujourd'hui à la place de Régalia, quand lui-même l'avait accueillie à bord du Navire, et elle commençait à comprendre les deux facettes de la conversation qu'ils avaient eue ce jour là, ce besoin de ne pas laisser entrer n'importe quel abruti dans l'Ordre, pour commencer.

"Vous savez que nous sommes un Ordre militaire? Qu'est ce qui vous fait penser que vous pourrez en devenir un? Parce que, sans vouloir vous offenser... Vous ne me semblez pas avoir de l'expérience dans le domaine."

Ses paroles pourraient sembler dures, mais le sourire de Keolys arrangeait souvent bien des choses, et la question semblait toujoursplus douce qu'elle ne l'était, quand c'était elle qui la posait.

Natros ne perdit pas son sourire, à regarder la femme droit dans les yeux, un regard sûr, celui d'un jeune homme près a montrer ce qu'il vaut. En effet, il n'en a pas l'air mais les aparances sont souvent trompeuses commes le dit le proverbe.
Elle ne sont pas toujour visible, cependant Natros a toujours des dagues sur lui. Ce qui empeche de voir celle-ci est qu'il ne les montres qu'en cas de défence.

Quand la jeune blonde pris le temps de faire sa phrase, toujours avec son sourire rassurant, Natros fît une mine sérieuse, tout de suite assez impréssionante. Puis réponda :

'Vous savez, je cache souvent des atouts qui pourrait mettre utile en cas de probléme, c'est pour ça que je n'en ait pas l'air. Mais si vous voulez savoir si je sait me battre, oui je le sait.'

Tout de suite aprés, il repris un faible sourire avant de reparler.

'A votre avis, quand nous nous sommes vus la premiére fois, pourquois je vous ait parlez d'entrainement ? cet entrainement pourait bien être celui d'une maîtrise parfaite pour une certaine arme en particulié. Si je n'étais pas capable de me battre, je ne me serait pas pointé devant vous, je ne suis pas non plus ignorant. Tout le monde a un début dans le millitaire, vous aussi, je supose que vous étiez comme moi quand vous vous êtes présentez a cet Ordre.

Ses paroles son pleines de courage, elle veule montrez qu'il est capable, qu'il veut le faire, y arrivée. Son comportement amical et joiyeux en fait un homme à qui on aime discuter, même dans un cas comme celui la.
Après avoir fini, il regardit d'un air intérogateur le garde ipnotisée par la demoiselle avant de retourner sur elle, de nouveau sérieux.

La jeune femme ne put s'empêcher de sourire aux propos de l'homme. Il pensait qu'elle était comme lui, quelques semaines plus tôt, quand elle avait rejoint les Sentinelles. Il pensait maitriser parfaitement le maniement d'une arme? Cela ne faisait que prouver une fois de plus que l'homme en face d'elle n'avait presque aucune expérience des combats. Un vrai guerrier savait, lui, qu'on ne maitrisait jamais complètement une arme, une vie entière ne serait pas suffisante pour cela.

Quoiqu'il en soit, Natros voulait une chance, pourquoi ne pas lui donner? La Paladine saurait bien assez tôt s'il en était digne ou non.

"Il y a quatre sections chez nous, Natros. Secouristes, Ailiers, Troupiers et Emissaires. La fonction des premiers n'est pas difficile à comprendre, les deuxième sont nos éclaireurs, les troisèmes nos soldats. Pour quoi pensez-vous être fait?"

Plus de sourire sur son visage, le ton de sa voix lui-même semblait s'être durci, allez savoir pourquoi...

Natros prit un air sérieux, et écouta attentivement la question de la jeune femme. Lui il ne se voit pas en soldat, du moin pas en premiére ligne. Par contre l'éclaireur il connait. C'est d'ailleur ce qui lui plait le plus.

'Eh bien, je ne suis pas médecin et je ne connais pas beaucoup les secours. Ensuite soldat, je ne me crois pas vraiment porteur d'armures lourdes et d'armes lourdes. L'éclaireur me coinvient parfaitement je sait comment m'y prendre dans ce type de cas...'

Il resta pensif.

'Les troupiers sont tous des soldats de premiére ligne ?'

Il pris le temps de posez cette question, qui lui trotait dans la tête. Après tout mieux vaut savoir ou allez pour son intégration, si elle est acordée.